Pour résumer cette idée, la vie m’a enseigné que l’action est maitresse,
le concret et le réel ma source d’inspiration et mon terrain de jeu.
Tout doit pouvoir se mesurer au réel
et donc toute idée ou dogme ou affirmation
qui ne peut demeurer que dans le champ cérébral et de l’idée
ne m’intéresse pas ou plus exactement attise ma plus grande défiance.
Il est très facile de se perdre dans cette discipline et de fantasmer.
Il y a ce à quoi je pense, mes hypothèses, mes orientations, mes croyances,
et ce qu’on obtient chez le patient dans le réel c’est à dire le résultat.
Est-ce que cela se superpose souvent, pas souvent ou jamais ?